J’ai une mission très sérieuse : tester une machine de karaoké.
Sauf que voilà… quand c’est moi, ça tourne vite au canular.
Je me fais passer pour un faux chanteur en pleine préparation du championnat de France de karaoké. Je demande s’il faut un “permis de chanter”, j’exige la bonne tonalité (que je n’ai évidemment pas), et je fais semblant de passer une audition ultra officielle — dans une foire.
Le vendeur, lui, essaie de garder son calme pendant que je lui parle comme si j’étais Johnny en plein casting de The Voice.
Entre fausses notes, absurdités techniques, et malaise poli, je déclenche un vrai moment de comédie. C’est du micro caché à l’état pur : du Pascal Sellem comme tu l’aimes, avec du culot, du timing et un soupçon de honte partagée.
















